Le changement climatique est un défi majeur de notre époque
c'est l'une
des
menaces les plus pressantes devant le développement
du continent africain.
Les populations les plus pauvres et les plus vulnérables subissent les impacts les
plus durs et souffrent de manière disproportionnée des effets négatifs des changements
climatiques.
En vue d’une appréciation des dangers liés à ce phénomène, la demande d'informations explicites
sur la vulnérabilité au changement climatique à l'échelle locale ne cesse d’augmenter.
L'observation et la surveillance dans le temps du climat en Afrique sont essentielles pour
comprendre les tendances.
Selon l'Organisation météorologique mondiale, une attention particulière
doit être
accordée au suivi météorologique dans l’Afrique du Nord, tant pour assurer une
couverture
complète et pour fournir des données locales en vue de la prévision des risques climatiques.
Dans cette même vision, notre site web cherche à sensibiliser ses utilisateurs à la
vulnérabilité de notre continent, et en particulier, des pays de l’Afrique du Nord devant les
risques climatiques imminents.
La désertification est définie comme la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches suite à plusieurs facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines..
Les taux de déforestation en Afrique restent bien inférieurs à ceux de l'Asie du Sud-Est et de l'Amérique du Sud. Cependant, depuis 2000, le continent a perdu une superficie de forêt approximativement équivalente à la taille de l'Islande..
Le feu est la menace naturelle la plus importante pour les forêts et les zones boisées de l’Afrique du Nord. Il détruit beaucoup plus d'arbres que toutes les autres calamités naturelles (attaques de parasites, insectes, tornades, gel...)..
Selon l'Institut des ressources mondiales, les émissions de carbone par habitant en Afrique, en 2000 étaient de 0,8 tonnes métriques par personne, par rapport à un chiffre global de 3,9 tonnes par personne..
Selon le troisième rapport d'évaluation de 2001 du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de l'OMM/PNUE, la fréquence et l'intensité de la sécheresse semblent avoir déjà empiré dans certaines régions d'Afrique..
Une image vaut mille mot!
Basée sur la Dégradation des Sols
L'impact combiné du changement climatique, de la mauvaise gestion des terres et de l'utilisation non durable de l'eau a entraîné une dégradation croissante des sols dans la région de l'Afrique du Nord..
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Basée sur la Perte du couvert végétal
Les taux de déforestation en Afrique restent bien inférieurs à ceux de l'Asie du Sud-Est et de l'Amérique du Sud. Cependant, depuis 2000, le continent a perdu une superficie de forêt approximativement équivalente à la taille de l'Islande..
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Aujourd'hui, le nombre annuel moyen d'incendies de forêt dans l'ensemble de la région est estimé à presque deux fois plus que celui du siècle précédent. Les incendies de forêt sont devenus une catastrophe habituelle, causant d'énormes pertes en vies humaines, en biens et en écologie..
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Le Maroc a connu des épisodes de sécheresse plus fréquents au cours des deux dernières décennies. La fréquence des sécheresses est passée d'un événement tous les 10 ans au début du 20e siècle à 5 ou 6 événements tous les 10 ans au début du 21e siècle. la sécheresse est un problème majeur obstacle pour l'agriculture et la sécurité alimentaire du pays..
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écran..
Allez-y!
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Mettez le curseur sur les barres empilées du Maroc pour visualiser les informations de chaque région.
L'Afrique n'est pas une source importante d'émissions de gaz à effet de serre. Elle ne représente que 2 à 3 % des émissions mondiales de dioxyde de carbone provenant de sources énergétiques et industrielles. Selon l'Institut des ressources mondiales, les émissions de carbone par habitant en Afrique, en 2000 étaient de 0,8 tonnes métriques par personne, par rapport à un chiffre global de 3,9 tonnes par personne.
Chaque barre empilée correspond à un pays de l’Afrique du Nord. Chaque partie de cette barre représente le pourcentage de sols appartenant à une classe de vulnérabilité donnée. Les pourcentages des sols appartenant à chaque classe de vulnérabilité peuvent être lus au niveau des valeurs indiquées sur les cercles concentriques.
Selon le troisième rapport d'évaluation de 2001 du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de l'OMM/PNUE, la fréquence et l'intensité de la sécheresse semblent avoir déjà empiré dans certaines régions d'Afrique. La région de l'Afrique du Nord est essentiellement sèche par nature en raison de la situation géographique et des conditions climatiques.
encadré par Pr. HAJJI Hicham